Bronze à cire perdue
Une technique millénaire :
chaque pièce est unique ;
il y a un grand niveau de précision par rapport à l’original.
Quand l’original est un plâtre, il y a moulage et contre moulage.
il faut créer un modèle en cire
auquel on fixe un réseau de canaux
permettant l’écoulement de la cire,
l’évacuation des gaz, (évents d’évacuation),
le coulage du bronze en fusion (cheminées d’alimentation).
Le tout est enfermé dans un matériau réfractaire
que l’on fait chauffer pour écouler la cire, et, le moment venu, verser le métal.
Portrait Marie-Aimée, bronze à cire perdue fonderie Godard.
©Victor Lucchese